On trouve le terme dans les pages du Centre national de référence de l’influenza, basé aux Hôpitaux universitaires de Genève. Ce réseau repère les nouvelles grippes grâce, entre autres, à la méthode de «l’inhibition de l’hémagglutination». Pour sa part, l’OFSP, qui est composé de gens prévoyants, a produit son plan pandémie – 241 pages – et indique, en date du 7 juillet, le nombre de 104 cas de la nouvelle grippe en Suisse, 94 512 dans le monde. Sur nos gardes, donc.
Chaque jour de l’été, sans prétention, «Le Temps» déguste un mot de la langue française.