Genève. La Commission des finances se prononce ce mercredi sur le surcoût lié à l'Euro 2008. Sans toucher aux montants des heures supplémentaires, peut-être à la prime, les députés entendent exiger des règles plus claires
Un ancien employé de la Banque du Gothard, à Genève, comparaît dès mercredi devant le Tribunal pénal fédéral. Il est accusé d'avoir soutenu une organisation de trafiquants.
Jugé pour avoir assassiné son épouse en lui tirant une balle entre les deux yeux, l'accusé avait déjà fait l'objet d'une plainte pour viol et menaces de la part de sa victime.
Une escort girl, promue maquerelle, et un ex-avocat sont accusés d'avoir livré des filles et de la drogue au producteur français Thomas Langmann avant de le faire chanter.
• Le futur code de procédure pénale suisse rendra l'institution du jury populaire impraticable. Les cantons s'organisent.• A Genève, seul bastion du jury dit véritable, le débat s'annonce sensible. Le Conseil d'Etat propose de modifier la constitution cantonale.
La Commission des finances examine aujourd'hui la demande de dépassement de crédit de 12 millions destinée à payer aux forces de l'ordre les heures supplémentaires effectuées durant la manifestation ainsi qu'une prime spéciale.
Asif Ali Zardari, veuf de l'ancienne première ministre pakistanaise Benazir Bhutto, est parvenu à faire effacer un passé encombrant. Retour sur dix ans d'enquête en Suisse.
Marc Roger est désormais libre, après s'être vu infliger une peine de 2 ans avec sursis. Olivier Maus et Marguerite Fauconnet ont écopé de peines pécuniaires. Le sort des réparations a été renvoyé au juge civil.
Marc Roger et Olivier Maus ont été reconnus coupables d'avoir piloté le club de manière irresponsable. Le Parquet a requis trois ans de prison, dont quatorze mois avec sursis, à l'encontre du principal artisan de la déconfiture.
Marathon oratoire lundi au procès de Marc Roger, Olivier Maus et Marguerite Fauconnet, accusés d'avoir précipité la faillite du club. Le verdict du jury est attendu mardi.
L'expert qui a examiné le bilan controversé du club au moment de l'assainissement estime qu'on a tiré toutes les ficelles possibles pour rendre les comptes présentables. De son côté, Olivier Maus, accusé de gestion fautive aux côtés de Marc Roger, dit avoir péché par naïveté.
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