La ville natale de Lionel Messi et Angel Di Maria attendait ses champions du monde, qui ont préféré retrouver un peu de calme après les célébrations folles de Buenos Aires. Sur place, ceux qui les ont vus commencer rêvent de les voir revenir pour y finir leur carrière
Les Argentins sont passés par tous les états d’âme, et leur joie finale restait teintée d’une forme d’incrédulité. Elle devrait néanmoins diffuser une douce euphorie dans un été austral frappé par la crise économique
Intellectuel communiste sous la dictature militaire, il est à jamais le premier «técnico» argentin champion du monde en 1978. Et un éternel esthète qui juge sans concession ce Mondial, avant la finale entre son pays et la France, l’équipe qui l’enchante le plus
Depuis 2002, année du dernier titre du Brésil, l’Europe a remporté toutes les Coupes du monde et placé sept finalistes sur huit. L’Amérique du Sud cherche divers moyens de se réinventer afin de mener la contre-attaque
Du bidonville qui l’a vu naître un 30 octobre au quartier de La Boca qui l’a fait icône, en passant par les «barrios» de La Paternal et de Villa Devoto, où il a vécu, Diego Maradona est omniprésent, sur les murs de la ville comme dans les esprits, deux ans après sa mort
Au contraire de celui des pays occidentaux, le football féminin argentin a d’abord grandi dans les bidonvilles. Il a dû se faire une place sur le terrain vague, épicentre de la culture footballistique locale et espace éminemment machiste
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