Certains professionnels sont activement recherchés en Suisse. De quoi créer des opportunités pour les jeunes qui cherchent une voie. Mais attention, toutes les pénuries ne durent pas, préviennent les experts
Ne plus travailler à 100% est devenu commun en Suisse, mais pas pour tous: 82% des hommes travaillent à temps plein contre 41% des femmes. Une nouvelle étude menée à Genève auprès de cadres montre la difficulté pour un père d’abaisser son taux d’activité
Les entreprises peuvent être tentées de faire rimer nouvelle année avec l’instauration de nouveaux processus, règlements ou modèles managériaux. Mais tout changement n’est pas bon à prendre et leur implémentation nécessite des précautions
Les négociations vont bon train pour trouver un accord fiscal entre Paris et Berne. Mais le volet des assurances sociales pourrait compliquer la donne. Le point sur la situation
L’utilisation du téléphone portable ou de l’ordinateur à des fins privées au travail, en naviguant par exemple sur les réseaux sociaux, n’est pas sans poser problème. Si un contrôle accru est risqué, établir certaines directives peut aider
S’ennuyer au travail est fréquent, révèle un travail de doctorat. Mais son auteur Yann Vaucher, spécialiste en management, estime que les entreprises peuvent agir pour endiguer ce phénomène
Une étude américaine montre que davantage de candidats cessent de donner des nouvelles pendant le processus d’embauche. Le climat actuel et le recrutement virtuel pourraient bien en faire un problème plus fréquent aussi en Suisse
Toujours plus de sociétés suisses cherchent à rendre leurs collaborateurs plus autonomes. Mais pour adopter un tel modèle sans trop d’accrocs, mieux vaut se former, au contact d’experts et d’autres entreprises «agiles»
Dans les sociétés qui permettent le travail à domicile, les bureaux sont occupés de façon inégale au fil des jours. Les lundis et vendredis sont particulièrement prisés pour le télétravail. Toutes les entreprises ne s’en accommodent pas de la même manière
Les réfugiés ukrainiens, dont les permis de séjour ont été prolongés jusqu'en 2024, semblent souvent convoités par les employeurs. Les entreprises passent en revanche régulièrement à côté des détenteurs de permis F, pourtant facilement employables
Lors de licenciements collectifs, comme celui qui attend les employés de Credit Suisse, des centaines de personnes sont mises à la porte. Une réalité douloureuse, mais la façon de procéder a une grande influence sur le vécu de ceux qui partent… et de ceux qui restent
ANALYSE. La «grande démission» ou les aspirations hors du commun de la génération Z sont des concepts porteurs. Mais ces phénomènes sont souvent plus complexes qu’on aimerait le croire
La pénurie fait rage en Suisse: il manque des bras et des cerveaux dans la restauration, l’ingénierie ou l’informatique, entre autres. Une réalité qui nécessite une adaptation permanente des écoles, qui ne peuvent pas pour autant former d’un coup de baguette magique
Toujours davantage d’entreprises suisses intègrent leurs collaborateurs dans leur processus d’embauche pour assurer une meilleure cohésion d’équipe. Un procédé qui a des effets positifs mais qui n’est pas sans risque
Les CV des plus de 50 ans sont souvent mis de côté en raison de clichés. Mais une fois l’entretien décroché, ces profils ont des cartes à jouer, surtout en période de pénurie de personnel
Depuis la pandémie, des employés demandent à exercer quelques jours depuis l’étranger avant ou après leurs vacances. Certaines politiques d’entreprise vont dans ce sens pour attirer du personnel. Une opportunité qui implique toutefois certaines précautions
Comme chaque année, «Le Temps» publie dans un supplément spécial la liste de ces programmes romands axés sur la gestion et destinés aux cadres. Un long répertoire pour des formations très diverses
Les établissements qui portent le nom d’«université» ou «haute école» doivent être accrédités avant le 1er janvier par le Conseil suisse. Au-delà de l’appellation, ce label n’a pas le même poids pour toutes les institutions, ni pour tous les programmes
Les générations Y et Z n’ont pas un rapport au travail différent des autres, souligne le professeur Jean Pralong. Mais à force de répéter qu’ils sont à part, les jeunes et moins jeunes finissent cependant par s’en convaincre
Ce sont quatre Romands de 20 à 26 ans venus d’horizons différents. Ils commencent tout juste leur vie professionnelle et on accuse leur génération d’une forme de dogmatisme dans son rapport au travail: volatils, indociles, accros au télétravail. La réalité est bien plus nuancée. Nous les avons rencontrés
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