Arrivée à l’ONU en janvier 2022, l’ambassadrice incarne l’engagement retrouvé de Washington dans le multilatéralisme. Elle juge cruciale la contribution de la Cité de Calvin pour résoudre les problèmes globaux
L’ex-directeur de Human Rights Watch s’est vu proposer un poste de chercheur pour un an au sein de l’université américaine. Mais le doyen de la Kennedy School of Government y a mis son veto. Motif: Kenneth Roth a été trop critique envers Israël. Un sujet hypersensible outre-Atlantique
Le chef de la diplomatie suisse Ignazio Cassis est intervenu jeudi pour la première fois devant le Conseil de sécurité de l’ONU après avoir été invité par le Japon à un débat sur l’Etat de droit. Le chef de la communication du DFAE commente
L'Ocean Viking, le navire de l’ONG SOS Méditerranée, avec 37 migrants à bord, a accosté à Ancône en Italie peu après minuit mardi soir. Cet épisode ainsi que le procès d’humanitaires en Grèce révèlent le chaos de la politique migratoire de l’UE
Après une mousson dévastatrice, le pays de 216 millions d’habitants connaît une situation catastrophique. A Genève, les Etats se sont mobilisés pour lever la moitié des 16 milliards de dollars nécessaires immédiatement pour reconstruire
Si elle avait raté sa campagne pour devenir la première chancelière verte de l’histoire, la ministre allemande des Affaires étrangères se révèle à son poste. Elle incarne une Allemagne qui n’a pas peur d’exprimer ses valeurs démocratiques
ÉDITORIAL. Des voix critiques estiment que la Confédération n’aurait pas dû accéder à l’organe onusien au risque de perdre sa neutralité et son âme. Or c'est une évolution logique et une manière d’assumer sa responsabilité multilatérale
Directeur des questions onusiennes à l’International Crisis Group, Richard Gowan jette un regard acéré sur le mandat de deux ans de la Confédération au Conseil de sécurité de l’ONU
Depuis le 1er janvier, la Confédération siège au Conseil de sécurité de l’ONU jusqu’à la fin 2024. Au vu de son engagement au sein de l’organisation multilatérale, c’est une suite logique. Mais les critiques de l’ONU et les tenants de la neutralité s’inquiètent
A l’OMS, on note que les très importantes contaminations en Chine ont commencé bien avant cet assouplissement. Pour le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’urgence de santé publique pourrait être levée en janvier prochain
Le nouveau haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a surpris par la manière solide dont il a entamé son mandat de cinq ans. A l’occasion de la journée internationale consacrée aux droits humains, il insiste sur leur universalité
De lundi à mercredi, l’Organisation mondiale de la santé a planché sur un projet de traité pandémique. Un tel instrument serait fondamental pour mieux anticiper une future pandémie et éviter le chaos qu’elle pourrait de nouveau causer
Mercredi, la Chine a annoncé un allègement général des règles sanitaires contre le covid. Pour la chercheuse Valérie Niquet, la décision paraît peu rationnelle et semble indiquer que le président, Xi Jinping, pourrait avoir dû céder aux pressions du parti
ÉDITORIAL. Alors que sont réunis à Genève les Etats parties à la Convention sur les armes biologiques, l’érosion des garde-fous protégeant l’humanité d’une possible utilisation d’armes de destruction massive préoccupe
A la conférence d’examen de la Convention sur les armes biologiques qui se tient à Genève, les experts parlent aussi de santé globale. Ce d’autant que la frontière entre usage civil, militaire ou terroriste d’agents biologiques est floue
La conférence d’examen de la Convention sur les armes biologiques se tient au Palais des Nations à Genève jusqu’au 16 décembre. L’obstructionnisme russe met en danger l’effectivité du traité. Or les risques de bioterrorisme demeurent élevés
Lundi à Berne a été lancé un appel, sous l’égide de l’ONG ICAN, d’une trentaine de personnalités dont des ex-conseillères fédérales, ex-diplomates et ex-présidents du CICR. Selon l’ONG, la Suisse, Etat gardien des Conventions de Genève, ne peut tergiverser
ÉDITORIAL. Alors que Téhéran continue de réprimer avec violence la contestation, il pousse à l’acquisition de la bombe atomique. L’accès de l’Iran au rang de puissance nucléaire aurait des conséquences incalculables
Alors que la violence de la répression orchestrée par le régime s’intensifie en Iran, les manifestants continuent à contester un pouvoir déconnecté de la population. L’analyse de Stéphane Dudoignon, expert de l’Iran et directeur de recherche au CNRS
Ce jeudi, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU tient une session spéciale consacrée à l’Iran. Objectif: établir une commission d’établissement des faits au sujet des graves violences orchestrées par Téhéran depuis le début de la contestation à la mi-septembre
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