Ils sont les éclaireurs avancés de la gouvernance mondiale. Basés à Genève et de toutes les nationalités, ces profils issus des organisations internationales, des ONG ou du monde académique sont les leaders du monde de demain
Dans son livre «Rage», le journaliste Bob Woodward montre que Donald Trump était au courant de la grande dangerosité du SARS-CoV-2. Cette révélation décrédibilise les raisons pour lesquelles le président américain a décidé de retirer les Etats-Unis de l’Organisation mondiale de la santé. Les experts s’en inquiètent
Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a entamé sa 45e session au Palais des Nations par un débat urgent sur les graves violations des droits fondamentaux en Biélorussie
A 44 ans, elle dirige le Geneva Cities Hub, plateforme récemment créée pour sensibiliser la Genève internationale à la thématique des villes et des pouvoirs locaux à une époque où 55% des habitants de la planète vivent en milieu urbain
En raison du Covid-19 et d’un essoufflement de certains donateurs, le Comité international de la Croix-Rouge doit procéder à la suppression de 95 postes au siège et à quelque 60 licenciements. Des mesures de rationalisation seront aussi prises sur le terrain. Le directeur général du CICR nous livre en exclusivité les tenants du plan de restructuration
Marie Laure Salles, qui a été doyenne de l’Ecole du management et de l’innovation à Paris, dirige depuis le 1er septembre l’Institut de hautes études internationales et du développement. Première femme à ce poste, elle livre sa vision de sa mission au cœur de la Genève internationale
Face aux violations multiples, le chef du Département fédéral des affaires étrangères juge urgent d’agir. Il compte aussi relancer la candidature de Thomas Greminger au poste de secrétaire général de l’OSCE en décembre. Ignazio Cassis ne voit en revanche pas la nécessité de ratifier le Traité onusien sur l’interdiction des armes nucléaires
Chef de la mission suisse auprès des Nations unies à Genève, le Bâlois achève son mandat pour poursuivre sa carrière d’ambassadeur à Nairobi. Il jette un regard rétrospectif sur les quatre ans passés au bout du Léman
Le rapporteur spécial de l’ONU sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression dresse un constat sombre à l’heure du Covid-19. La pandémie sert souvent de prétexte pour restreindre le droit des citoyens à s’informer. Les grandes puissances américaine et chinoise sont clouées au pilori
ÉDITORIAL. L’organisation multilatérale créée sur les ruines de la Deuxième Guerre mondiale à San Francisco en 1945 célèbre ses 75 ans. Elle subit pourtant de plein fouet les tendances unilatéralistes et nationalistes de certaines puissances. En ce sens, l’Alliance franco-allemande pour le multilatéralisme apparaît comme une bouffée d’oxygène
Trois candidats restent en lice pour succéder à Arancha Gonzalez Laya à la tête du CCI. Mais le processus, peu transparent, est sous le feu des critiques. Avant son départ, le directeur sortant de l’OMC, le Brésilien Roberto Azevêdo, est soupçonné de vouloir placer «son candidat», un ex-ambassadeur australien
La Chine a réussi à faire passer de justesse, lundi, une résolution au CDH qui insiste sur le rôle des Etats dans la protection des droits humains et minimise celui de la société civile
La mort de George Floyd résonne jusque dans le Palais des Nations. Mercredi, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a abordé la persistance du racisme, en particulier à l’encontre des Afro-Américains et des personnes de descendance africaine. Il devrait adopter une résolution ce jeudi
Ce devrait être le bras armé de l’Organisation mondiale de la santé pour gérer une pandémie telle que le Covid-19. Or la très grande majorité des Etats n'ont pas respecté le Réglement sanitaire international, y compris la Chine. L’organisation n’a pas de pouvoir de sanction
La directrice exécutive de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires, une coalition d’ONG nobélisée dont le secrétariat est à Genève, juge irresponsable l’attitude des puissances disposant de l’arme atomique qui refusent de désarmer
Codirectrice du Global Health Centre de l’Institut de hautes études internationales et du développement, Suerie Moon relève que les rivalités géopolitiques ont malheureusement réduit la coopération scientifique
Alors que la 73e Assemblée mondiale de la santé s’est achevée mardi, la menace américaine de geler définitivement, en pleine pandémie, son financement de l’OMS inquiète au plus haut point. La lettre de Trump envoyée au patron de l’OMS interpelle tant Pékin que l’agence onusienne
L’Assemblée mondiale de la santé s’est ouverte de façon virtuelle lundi. Si nombre d’Etats ont réitéré leur fort soutien à l’OMS, les Etats-Unis l’ont fustigée, soulignant que le «statu quo est intolérable». Le président français, Emmanuel Macron, le martèle: «Nous n’avons pas le droit de nous dérober»
Pour les Etats-Unis, la non-invitation de l’île indépendante à l’Assemblée mondiale de la santé, qui s’ouvre virtuellement lundi, est un quasi-casus belli. Plusieurs personnalités européennes exhortent l’OMS à inviter Taipei. L’OMS le répète: seuls les 194 membres de l’AMS peuvent en décider. Mais une décision ne sera prise que plus tard dans l'année
L’Assemblée mondiale de la santé s’ouvre virtuellement ce lundi pour deux jours. Elle sera le théâtre de discussions à couteaux tirés entre Européens et Américains sur la question de l’accès aux vaccins et médicaments ainsi que sur Taïwan
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