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A Art Basel, le prix des œuvres s’envole

La 49e édition de la foire internationale d’art s’est ouverte hier au public. Et s’impose toujours plus comme le rendez-vous majeur du marché de l’art

«The Lunchbreak» de 1989. Une sculpture hyperréaliste de l’artiste américain Duane Hanson. — © Keystone
«The Lunchbreak» de 1989. Une sculpture hyperréaliste de l’artiste américain Duane Hanson. — © Keystone

La preuve qu’à Art Basel, le marché de l’art se porte très bien? Larry Gagosian, l’un des galeristes les plus importants du circuit, avait loué pour l’occasion une arcade à deux pas de l’Hôtel des Trois Rois, le palace bâlois où séjournent les riches collectionneurs. La pop-up gallery devait fermer dimanche à la clôture de la foire. Le monde fou qui s’y est pressé a convaincu l’Américain de s’y installer à demeure. Ce qui ajoutera une treizième adresse à son cheptel d’espaces d’exposition dispersés à travers la planète. Pas impossible que ses concurrents (David Zwirner, Pace, White Cube) lui emboîtent le pas. Mais peut-être pas Hauser & Wirth, dont la maison mère se trouve déjà à Zurich.

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