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Les jeux de l’amour et du cosmos

La sixième triennale du Centre de la photographie Genève propose une centaine d’œuvres explorant l’érotisme, la sexualité et l’origine scientifique du monde

Catherine Radosa, «Motherland», 2019. Où quand le ventre d’une femme enceinte devient planète. — © Catherine Radosa
Catherine Radosa, «Motherland», 2019. Où quand le ventre d’une femme enceinte devient planète. — © Catherine Radosa

Plongé dans la pénombre, le ventre rond d’une femme enceinte évoque une planète en orbite. L’image, extraite de Motherland (2019), courte vidéo réalisée par la plasticienne française Catherine Radosa, embrasse l’infiniment proche et l’infiniment loin, évoque à la fois l’astrophysique et l’anthropologie, ne parle, dans le fond, de rien d’autre que du cycle de la vie. Elle fait partie de la centaine de travaux qu’expose jusqu’à la fin du mois le Centre de la photographie Genève (CPG) à l’occasion de la sixième édition de la triennale 50JPG, intitulée OSMOSCOSMOS.

Sur la précédente triennale, lire aussi:  Tremblez, vous êtes filmés

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