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Lucian Freud, une mise à nu radicale

A Londres, la National Gallery célèbre les 100 ans de la naissance du petit-fils de Sigmund Freud avec une vibrante rétrospective qui fait la part belle à ses portraits et nus, croqués sans ménagement à huis clos dans son atelier

«Girl with a White Dog», 1950-1951, huile sur toile, 76,2 × 101,6 cm. — © Freud, Lucian / Tate / Tate Images
«Girl with a White Dog», 1950-1951, huile sur toile, 76,2 × 101,6 cm. — © Freud, Lucian / Tate / Tate Images

Après avoir longuement pleuré sa reine Elisabeth II (1926-2022), le Royaume-Uni célèbre une autre de ses grandes figures, le peintre Lucian Freud (1922-2011), à travers une exposition ouverte à l’occasion des 100 ans de sa naissance. De la demi-douzaine d’accrochages qui lui sont consacrés, le plus important est sans aucun doute celui de la National Gallery, qui propose une plongée à travers sept décennies de création, des années 1940 à sa disparition.

Au programme: une soixantaine de peintures, de nombreux portraits, des femmes et des hommes de pouvoir (la reine Elisabeth II, les barons Thyssen-Bornemisza et Jacob Rothschild), des grands noms du monde de l’art (les peintres David Hockney, Francis Bacon, Frank Auerbach, et le marchand William Acquavella), sa famille, ses proches, et une galaxie de nus mettant l’accent sur l’animalité de la figure humaine.

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