Mariam Kamara: «Je suis devenue architecte pour réparer un sentiment d’humiliation»
biennale
AbonnéMariam Kamara et David Adjaye sont réunis depuis deux ans par le programme de mentorat artistique de Rolex. De leur dialogue puissant émane une énergie telle qu’elle semble pouvoir révolutionner l’architecture, en Afrique et dans le monde

Venise est une ville qui se prête à refaire le monde, et tous les deux ans, la Biennale d’architecture en offre le doux prétexte. Parce que cette discipline a le pouvoir de transformer, concrètement et durablement, les conditions de nos vies humaines. Et parce qu’une Biennale, au fond, c’est l’occasion de se mettre tous autour de la table pour en parler.