Julia Ishac joue. Comme une enfant qui se serait perdue sur un immense terrain de jeu. Elle l’assume: le monde qui l’entoure l’inspire, et tout est potentiellement matière à devenir sujet. Voir le monde avec les lunettes de la candeur, voilà peut-être son secret, elle qui n’a commencé la photographie qu’il y a quelques années, de surcroît en autodidacte.