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La présence palpitante, sensuelle et épurée de Maillol à Zurich

Une légère asymétrie, une pureté de la ligne, tels sont les secrets du sculpteur pour insuffler de la vie à ses nus, figures du bonheur avant la chute

Aristide Maillol, «L'Enfant couronné», vers 1890–1892. Huile sur toile, 47 x 40,5 cm, Paris, Fondation Dina Vierny-Musée Maillol.  — © J.-A. Brunelle
Aristide Maillol, «L'Enfant couronné», vers 1890–1892. Huile sur toile, 47 x 40,5 cm, Paris, Fondation Dina Vierny-Musée Maillol. — © J.-A. Brunelle

«Je ne veux pas que l’art m’embête, je veux être heureux.» Ce bonheur, évoqué par Aristide Maillol (1861-1944), le Kunsthaus de Zurich nous l’offre en ce moment dans une superbe rétrospective qui embrasse l’ensemble de la carrière du sculpteur et ses réalisations dans divers champs artistiques. L’exposition reprend, dans une scénographie qui bénéficie de l’espace élargi du Kunsthaus, celle du Musée d’Orsay, fruit de recherches approfondies.

A voir également: Les Nanas prennent le pouvoir au Kunsthaus de Zurich

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