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A Venise, de l’art pour conjurer le mauvais sort

La 58e Biennale de Venise s’est ouverte au public samedi. Foisonnante, elle expose 79 artistes internationaux qui constatent l’état du monde, parfois avec dépit

Barca Nostra de 
              Christoph Büchel. — © Simone Padovani/Awakening/Getty Images
Barca Nostra de  Christoph Büchel. — © Simone Padovani/Awakening/Getty Images

Comme tous les deux ans, la plus ancienne et la plus célèbre de toutes les biennales d’art contemporain s’ouvre à Venise. Dès aujourd’hui, la Sérénissime attend un million de personnes qui viendront voir – entre l’exposition officielle, les pavillons nationaux et la pléthore d’accrochages organisés partout dans la ville – de quoi la création, en 2019, est faite. Et vu l’état actuel du monde – accélération du changement climatique, résurgence des nationalismes, effets pervers des réseaux sociaux sur nos vies, augmentation des inégalités sociales et des richesses – le visiteur peut s’attendre à ce que les artistes aient beaucoup de choses à raconter.

Lire aussi:  Biennale d’art de Venise 2009 

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