C’est vrai, la vue justifie le déplacement. Au nord, la Mole Antonelliana, qui abrite le Musée national du cinéma, semble chatouiller le ciel de sa pointe culminant à 167 mètres. A l’est, la basilique de Superga toise Turin depuis sa colline boisée. Au sud, la ville se fait périphérie, bientôt campagne. A l’ouest, ce sont «les montagnes olympiques», ainsi désignées sur une table d’orientation, qui ont accueilli les Jeux d’hiver en 2006.