Publicité

«Don’t Leave Me», une série parfaite pour l’exportation

Le fleuron estival de Canal + est une série italienne qui, à Venise, conte la traque d’un réseau de pédocriminels. Un thriller fabriqué dans les formes, qui manque d’âme

Alessandro Roja et Vittoria Puccini, le tandem de policiers à problèmes. — © Rai, Canal+, Federation
Alessandro Roja et Vittoria Puccini, le tandem de policiers à problèmes. — © Rai, Canal+, Federation

La réalisation de Don’t Leave Me (Non mi lasciare) ne brille pas par son élégance. C’est souvent lourd, soudain on trouve malin de faire une séquence de parkour dans ce genre de polar classique, et le propos est régulièrement surligné comme pour bien se faire comprendre – mais on avait compris. Le fleuron estival de Canal+ attire autant qu’il lasse. Tant il est configuré pour nous happer – mais avec quel dessein?

Le corps d’un jeune ado est retrouvé dans un canal de Venise. D’abord envisagé, le suicide est vite écarté. Conséquence, débarque de Rome une commissaire qui enquête de longue date sur un réseau de pédophiles. Or, c’est l’ancienne petite amie de l’enquêteur principal de l’affaire, au reste marié à celle qui fut sa meilleure amie. Complexe.

Cet article vous intéresse?

Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement - abonnez-vous dès maintenant à partir de 9.- CHF le premier mois pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses.

CONSULTER LES OFFRES

Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:

  • Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
  • Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
  • Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
  • Accédez aux archives