Toile, réseaux et médias bruissent de commentaires sur la pandémie zombie affectant en quatre stades 60% de l’humanité et provoquée dans des circonstances d’apparition floues – mutations en laboratoire ou milieu naturel – par un champignon de la famille des Ophiocordyceps. «Tout était basé sur l’idée que plus une espèce devient nombreuse, plus il est probable qu’elle soit la proie de ce champignon», explique Neil Druckmann, coréalisateur de la série événement The Last of Us, adaptée du jeu vidéo éponyme.