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Le NIFFF s’apprête à vivre son «renouveau»

Après deux années d’apocalypse bien réelle, le Festival du film fantastique de Neuchâtel revient sous une nouvelle direction, mais avec ses sections historiques

«Les Cinq Diables» de la Française Léa Mysius, ouvrira le festival le samedi 1er juillet. Elle avait présenté «Ava» en 2017. — © NIFFF
«Les Cinq Diables» de la Française Léa Mysius, ouvrira le festival le samedi 1er juillet. Elle avait présenté «Ava» en 2017. — © NIFFF

Ce sera l’édition de la «renaissance», lance Nathalie Randin, présidente. Après une édition très particulière en 2020, en ligne, et une petite cuvée 2021, le Festival du film fantastique de Neuchâtel (NIFFF) revient en majesté cette fois – et à propos de renouveau, sous la houlette d’un directeur, Pierre-Yves Walder, dont c’est la première mouture. Celui-ci annonce un premier axe, un rapprochement avec les mondes de l’art contemporain, grâce à des installations présentées notamment dans le cadre patrimonial de la Petite Rochette.

S’agissant du programme, nulle révolution. La fête de l’étrange se structure toujours autour de sa compétition internationale, sa collection asiatique, sa section «Third Kind» – les inclassables – et les ultras, les histoires les plus extrêmes, ainsi qu’une compétition consacrée aux questions de genre… dans le genre. Parmi les hôtes de prestige, l’écrivaine Joyce Carol Oates, en conférence le 7 juillet.

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