Il y a une semaine, au lendemain de la clôture de la 21e édition du FIFDH (Festival du film et forum international sur les droits humains), on apprenait via Le Matin Dimanche que la manifestation genevoise était en crise. Une partie de ses collaborateurs et collaboratrices reprochaient notamment à Irène Challand, codirectrice en charge de l’artistique, une volonté de «contrôle extrême» couplée à une difficulté de prendre des décisions. D’où «de sérieuses inquiétudes quant à la possibilité de mener à bien le festival». De son côté, Irène Challand expliquait que la mission qui lui avait été confiée, à savoir faire du FIFDH un festival mieux reconnu à l’international, n’était pas partagée par l’ensemble des équipes. Elle invoquait même une situation de mobbing.