Scènes
AbonnéA La Parfumerie, Evelyne Castellino monte «A la ligne», récit poignant du quotidien ouvrier. Les corps secoués et les visages épuisés restituent la douleur du labeur

Des tapis de course. Six, alignés, et aliénant leur victime, les pieds collés au plancher. C’est la bonne idée de la metteuse en scène Evelyne Castellino pour traduire la rigueur des postes de travail et l’épuisement de l’usine que raconte avec force Joseph Ponthus dans A la ligne.