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AbonnéSous le chapiteau de la Scène vagabonde, le Genevois Valentin Rossier se saisit avec finesse de «Pour un oui ou pour non» et d’«Elle est là», deux comédies cruelles de l’écrivaine française, à déguster jusqu’au 21 mai
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Sous le chapiteau de la Scène vagabonde, le Genevois Valentin Rossier se saisit avec finesse de «Pour un oui ou pour non» et d’«Elle est là», deux comédies cruelles de l’écrivaine française, à déguster jusqu’au 21 mai