Jim Carrey ne va pas fort. Dépressif et paranoïaque, il se terre dans sa luxueuse résidence hollywoodienne entourée d’un treillis à haut voltage susceptible de carboniser les écureuils. Pour toute compagnie, il a deux rottweilers dressés à tuer et un système de surveillance électronique, IA dotée d’une voix «d’héritière singapourienne d’un empire de l’opium en villégiature en Provence».