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Ecrire la vibration et la beauté du monde, le nouveau roman de Célia Houdart

Rêveries mathématiques et cuisine indienne, entre Paris et Calcutta, tout un univers se dessine dans le dernier roman de Célia Houdart, «Le Scribe». Cet univers est beau, et c’est le nôtre

Le scribe accroupi. Section des antiquités égyptiennes au Musée du Louvre, à Paris. — © J-M EMPORTES
Le scribe accroupi. Section des antiquités égyptiennes au Musée du Louvre, à Paris. — © J-M EMPORTES

Chandra, un jeune mathématicien indien, l’aîné d’une famille brahmane aisée de Calcutta, débarque à Paris pour travailler comme chercheur à l’Institut Henri-Poincaré. Aux chapitres qui racontent sa découverte de la capitale française, répondent, en écho, d’autres chapitres sur la vie de sa famille en Inde. Entre ici et là-bas se créent de subtils frottements entre les espaces, une belle densité, une profondeur. Célia Houdart pose son regard sur ce qui reste d’habitude hors champ: chaque personnage secondaire a le droit d’apparaître, d’exister pleinement.

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