«Avec les vingt-et-une lettres de l’alphabet italien, c’est Galilée qui l’a dit, on peut dire toutes les choses de ce monde», écrit Giovanni Orelli. Et il semblerait que le poète tessinois, armé des lettres de cet alphabet, ait pris le parti de tout dire: sur lui-même, sur son temps, sur son monde – cette région reculée du Tessin à l’orée du Haut-Valais.