Une cinquantaine d’ouvrages au catalogue, deux écrivains romands majeurs dans le monde du polar – Nicolas Feuz et Marc Voltenauer – et un prisme italien affirmé. A l’origine, c’est le père d’Ivan Slatkine, Michel-Edouard, qui sollicitait Bertrand Favreul, ancien dirigeant de la société Magnard-Vuibert, avec l’idée de créer une structure tournée vers la littérature générale. Or la famille Slatkine est alors plutôt spécialisée dans le livre ancien, le reprint et le régionalisme.