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Le vampire, histoire d’un saigneur

Grâce à Adrien Party, Dracula – et ses différentes incarnations – possède enfin sa bible noire, de ses origines à ses influences dans la pop culture mondialisée

Dans «Nosferatu», en 1922, c'est Max Schreck qui endossa le rôle du fameux vampire. — © Imago/Cinema Publishers Collection
Dans «Nosferatu», en 1922, c'est Max Schreck qui endossa le rôle du fameux vampire. — © Imago/Cinema Publishers Collection

Etre protéiforme par excellence, le vampire a connu plusieurs vies et autant de réincarnations. Si on en trouve des traces dans beaucoup de cultures, aussi bien européennes, japonaises qu’américaines, sa figure semble omniprésente, tant au cinéma que dans la littérature ou la bande dessinée. Mais elle ne se limite pas aux médias «classiques», on la retrouve également dans les productions vidéoludiques et dans le jeu de rôle, élément essentiel de sa survie actuelle. Dans Vampirologie, Adrien Party ne néglige aucune présence du carnassier mort-vivant, aucune piste, ni aucun sens. Il couche sur papier le travail de recherche et d’analyse commencé il y une quinzaine d’années sur son site Vampirisme.com et en tire une somme unique, plus de 730 pages pour le traquer dans le temps et l’espace.

En salle: «Renfield», affrontement avec un vampire

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