Un morceau d’étoffe blanche noué autour de la tête, d’épaisses lunettes de protection et un imposant masque respiratoire anti-poussière: du visage de Vincent Du Bois, il n’apparaît que quelques parcelles de barbe poivre et sel et les pommettes, tannées par le soleil. Au beau milieu de son atelier à ciel ouvert, concentré, il sculpte à l’aide d’un marteau pneumatique. Un nuage de poussière diaphane voltige autour de lui, alors que l’acier mord la pierre.