Amos Zoldan, alias Sisma, ou le rap comme vengeance sociale
Portrait
AbonnéC’est un dur à cuire au cœur tendre et il a des choses à dire: l’artiste tessinois sort un quatrième album solo, son meilleur. Une œuvre «mature, d’adulte»

Le rap est sa passion, sa thérapie, son exutoire. Casquette et pull au logo crocodile, bague en or grosse comme une balle de golf représentant un ours: Amos Zoldan, alias Sisma, nous reçoit au Loft Five, à deux pas de la gare de Zurich où il vit depuis sept ans. L’occasion? La sortie de son quatrième album solo (sur un total d’une petite dizaine): Circolo Vizioso.