«Mi cuerpo, mi casa»: plus qu’un simple slogan, cette courte phrase répétée dans l’une des chansons de l’album Sindrome Premenstrual résume bien l’univers de Lorena Stadelmann. Danseuse de formation, pour qui le corps est une maison mais aussi un terrain d’expérimentation, cette performeuse d’origine jurassienne et guatémaltèque est devenue ces derniers mois une des voix les plus percutantes de la scène musicale suisse.