C’était une soirée où il était, de son propre aveu, «totalement déchiré». Une nuit de beuverie, encore une, pour cette fois se retrouver impliqué dans une bagarre de rue et finir la nuit au poste. Sauf qu’il n’y a pas de prison de ville à La Nouvelle-Orléans. Et pas d’échappatoire pour Dylan LeBlanc ce soir-là, ce sera un aller simple pour la Orleans Parish Prison, l’une des pires aux Etats-Unis, avec ses 1500 détenus – pour la plupart en attente de procès – et son effroyable environnement.