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«Le Temps» a suivi la réunion des rappeurs suisses Di-Meh, Slimka et Pink Flamingo avec un groupe du Bénin, le Gangbé Brass Band. Voici l'ultime chapitre de cette série en vidéo, avec les précédents

Quand Eric Linder, le patron du festival Antigel, décide de faire se croiser à Cotonou la meilleure fanfare d’Afrique et les héros du hip-hop genevois, Le Temps décide d’en être. Le 1er août dernier, jour de fête nationale pour la Suisse et le Bénin, les rappeurs Slimka, Dimeh et le producteur Pink Flamingo se retrouvent sur une scène africaine pour la première fois de leur vie, en compagnie du Gangbé Brass Band.
Nous en tirons une petite série documentaire en quatre parties. Voici la dernière, et les précédentes.
Le jour des fêtes nationales (4/4)
Le 1er août est jour de fête nationale pour la Suisse et pour le Bénin. A Cotonou, sur une place aux airs de terrain vague, la musique née des rappeurs genevois Di-Meh, Slimka et Pink Flamingo et du Gangbé Brass Band a fait lever la foule, malgré les difficultés techniques.
La leçon des routes (3/4)
Au Bénin, les rappeurs genevois Di-Meh, Slimka et Pink Flamingo, tous d'origine africaine, se découvrent dans un miroir légèrement déformant. La musique, c'est aussi le prétexte pour aller découvrir une autre histoire: celle des rituels vaudou et de la traite esclavagiste.
Quincy sous les tropiques (2/4)
Dans un local de répétition improvisé, premiers regards échangés entre le Gangbé Brass Band, un orchestre béninois qui existe depuis plus de vingt ans, et les rappeurs genevois. Après avoir reniflé l’atmosphère, Pink Flamingo (aka Varnish) se lève.
Cap vers le Sud (1/4)
Vedettes en Suisse, les rappeurs Di-Meh, Slimka et Pink Flamingo (aka Varnish La Piscine) quittent Genève pour renouer avec des racines inconnues. Direction Cotonou, au Bénin, où les musiciens dans les marchés sont d’abord considérés comme des étrangers.
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