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Léa Pohlhammer, tornade chilienne sur la scène genevoise

A la fois comédienne, metteuse en scène et DJ, la quadragénaire qui a grandi en Suisse explose les conventions dans «Violencia Rivas», au Théâtre Saint-Gervais

Léa Pohlhammer: «A quoi bon parler de justice sociale sur scène si c’est pour se déchirer en coulisses?» — © David Wagnières pour Le Temps
Léa Pohlhammer: «A quoi bon parler de justice sociale sur scène si c’est pour se déchirer en coulisses?» — © David Wagnières pour Le Temps

«Je refuse de faire ce métier si ça ne se passe pas bien sur le plan humain. A quoi bon parler de justice sociale sur scène si c’est pour se déchirer en coulisses?» En plus d’être solaire et drôle, Léa Pohlhammer est plutôt cash. Une qualité qui séduit le monde de la nuit genevois qu’elle anime depuis quinze ans comme DJ – elle se dit «passeuse de musique» – en parallèle à son métier de comédienne et de metteuse en scène. Cette mère de trois enfants conçus avec trois pères différents n’imagine la vie qu’en grand. «Il faut oser, se lancer, tomber et se relever. En tout cas, je ne garde aucune rancœur. Je suis en bons termes avec mes ex et leurs enfants font partie de ma vie.»

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