Sur ses genoux, la jeunesse de Nietzsche, son chien. Mathieu Bertholet fête cette saison les 75 ans du Poche à Genève. Une fête davantage qu’une commémoration. L’occasion d’actionner la pompe du futur et de lancer des auteurs d’aujourd’hui sur les grands boulevards de la comédie. Ce fil, le directeur de l’institution le déroule sur une terrasse de bistrot du quartier des Pâquis. Avec à portée de main, Nietzsche, un basenji d’humeur méditative. Et dans sa bouche, un propos enthousiasmant.