Grisélidis Réal n’a pas toujours été cette pasionaria de la prostitution qui, à travers l’association Aspasie et son combat genevois, a donné un statut juridique aux travailleuses du sexe. Dans ses jeunes années, en Allemagne, puis dans la Cité de Calvin, elle a touché et même raclé le fond, note Nancy Huston, en faisant commerce de son corps.