C’est une charge massive qui donne mal au cœur. Et cela dès la première scène durant laquelle Rébecca Chaillon, nue, nettoie de son corps imposant un sol qui se poisse au fur et à mesure que gouttent des glaçons marron. Une spectatrice quitte la salle, sans doute incommodée par cette entame qui joue sur l’humiliation.