Il revient sur ses terres. Du moins sur celles de son père. Ce mardi, lorsqu’il s’avancera sur la scène de l’Arena, avant celle du Hallenstadion de Zurich mercredi, Trevor Noah aura peut-être une (petite) pensée pour Robert. Un paternel alémanique absent, extrêmement discret, «très Suisse», estime-t-il dans son autobiographie parue en 2017, «propre», «méticuleux» et «précis», «qui laisse sa chambre d’hôtel plus propre en partant qu’elle ne l’était à son arrivée».