Avant le coronavirus, la Terre a été ravagée des milliers de fois. Dans la fiction. Plongée dans les terreurs provoquées par les volcans, les tours infernales et autres calamités humaines
Les films catastrophes ont leurs grandes et médiocres œuvres. Les meilleurs navets sont ceux qui innovent, par exemple en croisant deux types de désastres. Ou en affirmant qu’il faut bombarder Genève pour sauver le monde du CERN
Dans les films catastrophes, la planète se rappelle souvent à l’attention d’une humanité trop triomphante. Si les schémas sont volontiers classiques, il y a quelques originalités
Le séisme qui ravage une ville ou la tour qui flambe illustrent souvent les conséquences de mauvais choix politiques ou économiques. En romans à suspense et sur grand écran, la fiction reflète bien les représentations sociales des calamités
Dans le genre du roman ou du film catastrophe, l’affection virale est assez peu exploitée. Le clinique «Contagion», de Steven Soderbergh, a épuisé le filon pandémique. Mais d’autres échos apparaissent, par exemple du Nigeria
Dans le genre du film catastrophe, les tragédies en aéroplanes foisonnent. On y trouve bombes, esprits suicidaires, nonnes folles et serpents. Chers passagers, les issues de secours se trouvent ici et là
Les années 1970 sont celles de l’explosion puis de la chute temporaire du film catastrophe. Tours, paquebots, dirigeables, planète Terre, centrales nucléaires: tout est bon à retourner ou détruire. En bonus, notre top 5 des films des années 1970
Foin de coronavirus! Revoyons plutôt quelques films catastrophes, et relisons leurs prédécesseurs littéraires. Pour commencer à trembler, plantons le décor et intéressons-nous aux débuts du genre
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