Clair-obscur, des chroniques de l’ombre
Dans la cour de l’immeuble de notre chroniqueuse se trouve un tilleul. Son appartement est ainsi fait qu’elle vit en compagnie de cet arbre et donc, l’été, avec son ombre. Elle en décrit et célèbre l’extraordinaire valeur à travers cinq œuvres, voguant de la cour lausannoise jusqu’en Indonésie en passant par la Toscane et le Japon