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La controverse «No Billag»

Le 4 mars 2018, l’initiative qui veut supprimer la redevance a été balayée par 71,6% des votants. Le débat sur le service public universel a été animé, voire brutal. Nos articles sur le débat

Reportage

A La Sallaz, une joie retenue

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Après plusieurs mois d’intense battage médiatique, l’initiative «No Billag» a finalement été refusée par la population. Les collaborateurs de la RTS saluent un heureux épilogue, sans ignorer les réformes à venir

Éditorial

Et maintenant, un projet pour la place médiatique suisse

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ÉDITORIAL. «No Billag» balayée, la SSR peut envisager sereinement une réforme de fond. Celle-ci devrait redéfinir le service public et s’attaquer à la crise qui frappe l’ensemble des médias helvétiques

«No Billag»

La nouvelle SSR, en mode «réforme permanente»

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Un programme d’efficience de 100 millions, de même que plusieurs propositions de collaboration avec le secteur privé: c’est ce qu’a promis Gilles Marchand après le non à 72% du peuple à «No Billag»

Opinion

«No Billag» ne menace pas la démocratie

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OPINION. L’initiative «No Billag» bénéficie à la démocratie pour au moins deux raisons: elle rend son indépendance à la SSR et permet une diversification des acteurs dans le paysage audiovisuel, écrit Alexandre Jöhl, membre des Jeunes libéraux-radicaux genevois

Médias

A quoi pourrait ressembler une réforme de la SSR?

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Sauf coup de tonnerre, la redevance sera maintenue après le 4 mars. Mais le grand navire va devoir réduire la voilure et changer de cap. Des réformes en profondeur qui inquiètent

Votations

«No Billag», la campagne de tous les dérapages

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Provocations, insultes et menaces, même de mort: la campagne sur l’initiative qui veut supprimer la redevance radio-TV a été la plus agressive de ces vingt dernières années

«No Billag»

Les Alémaniques ravalent leur désamour face à leur TV

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La montée du non à «No Billag» outre-Sarine ne traduit pas une soudaine indulgence des citoyens alémaniques à l’égard de la SSR, mais sans doute une nouvelle compréhension de la question posée le 4 mars