Le 4 mars 2018, l’initiative qui veut supprimer la redevance a été balayée par 71,6% des votants. Le débat sur le service public universel a été animé, voire brutal. Nos articles sur le débat
Guillaume Chenevière, Philippe Mottaz, Oswald Sigg, Raymond Vouillamoz se sont impliqués dans la campagne sur la redevance. Pour «Le Temps», ils proposent ici leur analyse du débat et du résultat
Après plusieurs mois d’intense battage médiatique, l’initiative «No Billag» a finalement été refusée par la population. Les collaborateurs de la RTS saluent un heureux épilogue, sans ignorer les réformes à venir
ÉDITORIAL. «No Billag» balayée, la SSR peut envisager sereinement une réforme de fond. Celle-ci devrait redéfinir le service public et s’attaquer à la crise qui frappe l’ensemble des médias helvétiques
Un programme d’efficience de 100 millions, de même que plusieurs propositions de collaboration avec le secteur privé: c’est ce qu’a promis Gilles Marchand après le non à 72% du peuple à «No Billag»
L'échec de l'initiative «No Billag» est le quatorzième succès de la conseillère fédérale en votation depuis 2006. Le moment serait idéal pour tirer sa révérence. Mais il y a l'affaire des bus jaunes...
Patron de la radio-TV belge, la RTBF, et président de l’Union européenne de radio-télévision, Jean-Paul Philippot situe la polémique sur «No Billag» dans le contexte européen
OPINION. L’initiative «No Billag» bénéficie à la démocratie pour au moins deux raisons: elle rend son indépendance à la SSR et permet une diversification des acteurs dans le paysage audiovisuel, écrit Alexandre Jöhl, membre des Jeunes libéraux-radicaux genevois
Sauf coup de tonnerre, la redevance sera maintenue après le 4 mars. Mais le grand navire va devoir réduire la voilure et changer de cap. Des réformes en profondeur qui inquiètent
Provocations, insultes et menaces, même de mort: la campagne sur l’initiative qui veut supprimer la redevance radio-TV a été la plus agressive de ces vingt dernières années
La montée du non à «No Billag» outre-Sarine ne traduit pas une soudaine indulgence des citoyens alémaniques à l’égard de la SSR, mais sans doute une nouvelle compréhension de la question posée le 4 mars
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