Le 4 mars 2018, l’initiative qui veut supprimer la redevance a été balayée par 71,6% des votants. Le débat sur le service public universel a été animé, voire brutal. Nos articles sur le débat
A l’approche du vote, les opposants à l’initiative «No Billag» assurent que la SSR est en danger de mort. A quoi ressemblerait un futur sans télévision publique? Eléments de réponse
Pour le politologue Stephan Davidshofer, maître assistant à l'Université de Genève, la RTS joue un rôle essentiel dans la définition de l'identité commune des Romands
EDITORIAL. Jamais les artistes et producteurs suisses ne s'étaient mobilisés autant pour dénoncer les effets d'une initiative. C'est qu'elle pourrait mettre à mal l'exception culturelle à la mode helvétique
Selon un nouveau sondage Tamedia, l’initiative «No Billag» serait pour l’instant refusée. Egalement soumis au peuple le 4 mars prochain, le nouveau régime financier 2021 serait, lui, accepté
Trois parlementaires proposent une contribution de 7 francs par mois et par ménage pour sauver l’information valaisanne si «No Billag» devait être acceptée. Ils ne s’accordent pas sur l’initiative elle-même et suscitent des réactions sceptiques
A Lucerne, canton qui avait exprimé sa défiance envers la SSR en 2015, les opposants à l’initiative sont apparus plus convaincants que leurs adversaires
Les jeunes libéraux qui ont conçu l’initiative évoluent dans les milieux de la finance et de la banque, préfèrent la presse à l’audiovisuel et ils ont en commun de vouer une confiance sans limites aux lois du marché
OPINION. «No Billag» n’est pas un complot de nationalistes extrémistes mais une initiative venant de jeunes souhaitant réparer un système incohérent et inadapté aux changements de production, écrit Frédéric Jollien, membre du comité «No Billag»
A Bienne, les délégués libéraux-radicaux ont clairement dit non à l’initiative «No Billag» soumise au vote le 4 mars prochain. Ils préfèrent des réformes ciblées du paysage médiatique suisse
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