Le 4 mars 2018, l’initiative qui veut supprimer la redevance a été balayée par 71,6% des votants. Le débat sur le service public universel a été animé, voire brutal. Nos articles sur le débat
L’initiative «No Billag» fait craindre le pire aux 34 chaînes régionales de radio et de télévision, qui ne savent même pas si elles pourront conserver leur concession
Le comité interpartis No Billag Oui affirme que l’approbation de l’initiative ne signifierait pas la mort de la SSR. Mais son plan B laisse beaucoup de questions ouvertes
Plusieurs élus du parti ont voté contre l’initiative populaire au parlement. Mais seule la Vaudoise Alice Glauser met son nom à disposition pour la combattre
OPINION. Le Syndicat suisse des mass media (SSM) réagit à l’article du «Temps» intitulé «Les employés de la SSR restent exemptés de redevance», par la voix de Valérie Perrin, sa secrétaire régionale
Le nouveau directeur général de la SSR, a à peine pris ses fonctions qu’il doit affronter l’initiative «No Billag». Pour la première fois, il livre sa vision du service public audiovisuel de l’avenir
Alors que «No Billag» reproche à l’audiovisuel public son coût élevé, des milliers de collaborateurs de la SSR ne paient rien. Cette faveur a même été prolongée d’un an
Dans un climat marqué par l’incertitude et les plans d’épargne dans les rédactions, les regards se tournent vers le milliardaire de la Goldküste. Pourrait-il tirer son épingle du jeu?
La mouvance qui soutient l’initiative «No Billag» rassemble des acteurs aux intérêts divers mais dont l’alliance risque de tuer la SSR. Des jeunes ultralibéraux aux caciques de l’UDC en passant par les éditeurs, ils se rejoignent dans une posture qui veut réduire le champ du service public au profit du privé