A l’occasion de l’Euro 2016, «Le Temps» était revenu sur sept décennies d’histoire de l’équipe de Suisse de football, des années 1950 aux années 2010, en rencontrant sept de ses joueurs phares
Johan Djourou, né à Abidjan, élevé à Genève, formé à Londres, défenseur à Hambourg, incarne la nouvelle Nati riche de ses influences diverses. Elle rêve de briller à l’Euro 2016
Alexander Frei, roi des buteurs en sélection, fait partie de la génération des «Titans» qui décomplexe définitivement l’équipe nationale. Celle-ci enchaîne quatre qualifications consécutives, avec des fortunes diverses
Stéphane Chapuisat se souvient que l’arrivée du sélectionneur Roy Hodgson a tout changé. Bien organisée, dure à battre, l'équipe de Suisse se qualifie pour la World Cup 1994 et l'Euro 1996
Heinz Hermann a connu le meilleur en clubs avec Grasshopper et Xamax et le pire en équipe nationale où, malgré un record de 118 sélections, il n'a jamais participé à une phase finale
Daniel Jeandupeux, l’ancien attaquant de Zurich et des Girondins de Bordeaux, raconte une époque où l’équipe de Suisse n’était jamais loin des meilleures, mais n’a pas signé le moindre exploit
Köbi Kuhn se souvient de l'époque où la Suisse abandonne son verrou défensif, essaye de mieux jouer au ballon mais ne se qualifie plus pour les phases finales. Le début d'un long trou noir
Eugène Parlier, le gardien héroïque de la Coupe du monde 1954, incarne ce temps mythifié non pas des défaites honorables, mais plutôt des matches épiques et des récits picaresques
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