C’est comme une tour de contrôle au-dessus du centre névralgique de Lucerne. Depuis son bureau, Marcel Perren peut tout surveiller: la montée de la Reuss, qui a menacé, voire débordé par endroits à la mi-juillet. Les entrées et sorties sur la Schwanenplatz et son fameux tourniquet des cars larguant leurs touristes dans la vieille ville, qui avait suscité tant de tensions avant l’irruption de la pandémie. Le directeur de Lucerne Tourisme peut probablement même constater la fréquentation du célèbre pont de la Chapelle, en se contorsionnant un peu.