«J’ai toujours voulu travailler dans le domaine de la santé. Mais je ne me voyais pas rester à écouter des heures de cours sans bouger.» Emmeline, 23 ans, fait partie des 11 étudiants suivant un cursus en soins infirmiers «particulier». Cet après-midi-là, ils sont tous assis en cercle derrière des pupitres à roulettes, «pour rester mobiles». Leur salle de classe à la Haute Ecole de santé de la HES-SO Valais, à Sion, est aménagée façon start-up, avec coin poufs et espaces vitrés pour des réunions.