Télétravail des frontaliers: le ras-le-bol des entreprises
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AbonnéLe 1er juillet, les frontaliers français pourraient devoir revenir au bureau quatre jours par semaine, mais à presque un mois de l’échéance, employeurs et employés n’en savent toujours rien. Un schéma qui se répète et qui agace

«Le travail des ressources humaines commence à s’apparenter à celui de commandant de crise, de pompier ou de lecteur de boule cristal», ironise Frédéric Bracher, responsable RH Swisscom pour la Suisse romande. En cause? Les incertitudes liées à l’avenir du télétravail des frontaliers français dans les entreprises suisses.