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Alerte sur des arnaques de plus en plus sophistiquées ciblant la Suisse

Utilisant la méthode dite du «vishing», les escrocs combinent envoi de SMS, faux site web et appels téléphoniques pour gruger leurs victimes. La Confédération constate que les cas se multiplient

Image d'illustration. — © Ratta Lapnan - stock.adobe.com
Image d'illustration. — © Ratta Lapnan - stock.adobe.com

C’est un nouveau terme dans le lexique très fourni des arnaques et cyberattaques. Après le «phishing», le «smishing», voici le «vishing». Ce mardi, le Centre national pour la cybersécurité (NCSC) a présenté une étude détaillée montrant comment les malfaiteurs utilisent cette technique pour tenter de plumer leurs victimes. Selon la Confédération, le «vishing» tente de cibler actuellement de nombreux suisses, avec une méthode combinant SMS, faux site web puis appels téléphoniques. Le Temps a d’ailleurs tout récemment eu connaissance d’un cas de ce type, proche de celui décrit par le NCSC.

Mais révisons d’abord le vocabulaire lié aux cyberattaques. Le «phishing» (ou hameçonnage), en vogue depuis des années, consiste pour les arnaqueurs à créer un site web ressemblant à un site officiel (de banque, organisme de carte de crédit ou site d’e-commerce), dans le but de voler des données confidentielles à l’internaute. Le «smishing», lui, en est très proche: les arnaqueurs contactent leurs victimes potentielles par SMS, en les incitant à cliquer sur un lien.

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