C’est un curieux paradoxe. Bill Gates est le fondateur d’un empire de la tech qui s’est le plus investi pour améliorer les conditions de vie sur Terre. Mais c’est aussi le milliardaire le plus décrié, critiqué voire diabolisé. A l’heure de l’annonce de son divorce avec son épouse Melinda, la comparaison entre ses objectifs et ceux des fondateurs d’Amazon, de Tesla et même de Google offre un étrange tableau.