C’est un immense coup d’arrêt de la lutte contre les cybercriminels. Moscou ne poursuivra pas en justice les auteurs de cyberattaques qu’il détient dans l’une de ses prisons. Pire encore: ces hackers devront travailler… pour le compte de l’Etat russe. C’est un article du journal russe Kommersant, paru vendredi dernier mais repéré cette semaine par les médias américains, qui livre cette information.