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Didi Chuxing, l’Uber chinois, a voulu aller plus vite que Pékin

L’action du géant chinois de réservation de voiture avec chauffeur a dégringolé de près de 30% en deux jours à Wall Street. Le géant technologique fait l’objet d’une enquête sur sa politique de protection des données. Selon Pékin, Didi et d’autres sociétés chinoises cotées aux Etats-Unis pourraient être contraintes de céder des informations aux autorités américaines

Le siège de Didi Chuxing dans la ville de Hangzhou. Le titre de l’Uber chinois a chuté de 30% en deux jours à Wall Street. — © STR/APF
Le siège de Didi Chuxing dans la ville de Hangzhou. Le titre de l’Uber chinois a chuté de 30% en deux jours à Wall Street. — © STR/APF

Mais pourquoi Pékin voudrait-il mettre ses géants technologiques au pas? En novembre, les autorités de surveillance avaient bloqué in extremis l’entrée en bourse d’Ant, propriétaire de la plateforme de paiement en ligne Alipay, appartenant au groupe Alibaba de l’homme d’affaires Jack Ma, l’accusant de pratiques monopolistiques et de vouloir devenir un mastodonte incontrôlable. Elles viennent de remettre ça. Trois entreprises chinoises du numérique ont été mises sous enquête concernant leurs pratiques en matière de protection des données.

Lire également: Le titre d’Alibaba plonge après la suspension de l’entrée en bourse d’Ant

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