Des prénoms, des noms, des itinéraires… Au total, un million d’informations détenues par les CFF sur leurs clients se sont retrouvées, durant plusieurs jours, en quasi libre accès. Lundi, l’ex-régie fédérale a reconnu un gros souci de sécurité dans sa base de données. Alertée par un spécialiste en sécurité, l’entreprise affirme avoir immédiatement colmaté les brèches. «La clientèle n’a subi aucun préjudice», selon les CFF. Mais cette interprétation des faits est disputée par des experts, qui estiment que les CFF sont sans doute trop optimistes, trop tôt.