Il y eut d’abord l’éclatement du scandale Clearview AI, fin janvier. Il y a désormais la réplique. Au début de l’année, une enquête du New York Times révélait que cette start-up new-yorkaise avait non seulement aspiré, sur des millions de sites web, les visages de 3 milliards de personnes. Mais, en plus, elle mettait à disposition cette base de données et son logiciel de reconnaissance faciale à des polices aux Etats-Unis. Nouvelle étape: on apprenait la semaine passée que les systèmes internes de Clearview AI avaient été piratés.